Le monde du travail de demain… est durable.

Retourner au Navigateur de la HSBC 2021 : la voix des entreprises

Des jours plus verts sont à venir. Découvrez pourquoi le développement durable devrait demeurer dès aujourd’hui une priorité.

Les entreprises canadiennes sont-elles devenues climatosceptiques? Certainement pour la plupart, si on se fie à leurs points de vue sur l’efficacité des pactes mondiaux sur le climat. Qu’est-ce que cela signifie pour l’adoption et la mise en œuvre à grande échelle de pratiques commerciales durables lorsqu’on sait que moins du quart des entreprises sont préoccupées par les menaces qui pèsent sur l’environnement?

Le Canada est depuis longtemps considéré comme un pays progressiste en ce qui a trait à la lutte contre les changements climatiques. Il a pris un certain nombre d’engagements politiques à cet égard, notamment celui d’atteindre une économie zéro émission nette au moyen d’objectifs ambitieux de réduction des émissions, une taxe nationale sur le carbone et des programmes de soutien gouvernementaux pour favoriser des activités commerciales durables. .

Même si les décideurs canadiens considèrent les changements climatiques comme une menace majeure, les entreprises canadiennes ne sont peut-être pas sur la même longueur d’onde, selon notre dernier sondage. En effet, seulement 16 % d’entre elles croient que les risques en matière de développement durable constituent une menace pour la croissance potentielle. De plus, on se demande de plus en plus si les objectifs ambitieux proposés lors des sommets internationaux sur le climat changeront vraiment les choses.

Je pense que beaucoup de nos concitoyens seraient surpris d’apprendre que 11 % de nos entreprises croient que les pactes et les accords mondiaux sur le climat n’auront aucun effet significatif sur la lutte contre les changements climatiques, explique Angie Hall, responsable en chef du financement durable à la Banque HSBC Canada. C’est presque deux fois plus que les entreprises ailleurs dans le monde. Qui plus est, un peu plus du quart des entreprises canadiennes (27 %) croient que les sommets sur le climat sont essentiels pour orienter les politiques et les mesures, un pourcentage également beaucoup moins élevé que la moyenne à l’échelle mondiale des entreprises sondées, soit 39 %.

Angie Hall | Responsable en chef du financement durable à la Banque HSBC Canada

En tant que chef de file mondial des services bancaires durables, la Banque HSBC Canada occupe une position unique pour aider les entreprises à atteindre leurs objectifs en matière de développement durable. Dans ce contexte, en tant que membre de l’alliance bancaire zéro émission nette, nous nous engageons à harmoniser nos portefeuilles de prêts et de placements avec l’objectif zéro émission nette d’ici 2050 au moyen de programmes ambitieux fondés sur des données scientifiques, conjointement avec nos partenaires internationaux.

À VENIR : En se concentrant à court terme sur le renforcement de leurs activités à l’échelle nationale, les entreprises canadiennes pourraient-elles manquer de saisir des occasions à long terme sur le plan du commerce international? 

Climatosceptiques : Une minorité d’entreprises canadiennes est convaincue que les pactes mondiaux sur le climat auront une incidence majeure sur l’environnement (27 % contre 39 %).

Pourquoi ne pas prendre les devants dès maintenant?

Faits saillants

Neuf entreprises sur 10 (91 %) dans le monde perçoivent les efforts de relance à la suite de la pandémie de COVID-19 comme une occasion de rendre leurs activités plus durables sur le plan environnemental.

(Navigateur HSBC : Rebâtir sur de meilleures bases)

Quatre-vingt-quatre pour cent des dirigeants d’entreprise canadiens pensent que le réaménagement de leur mode de fonctionnement rendu nécessaire par la pandémie de COVID-19 leur permettra de rebâtir leurs activités sur des bases environnementales plus solides.

(Navigateur HSBC : Rebâtir sur de meilleures bases)

Un dirigeant d’entreprise canadien sur trois (33 %) s’attend à des pressions plus fortes de la part des employés pour l’adoption de modes de fonctionnement plus durables au cours des deux prochaines années, alors qu’un sur quatre (27 %) s’attend à des pressions semblables de la part des actionnaires, des propriétaires et des investisseurs.

(Navigateur HSBC : Rebâtir sur de meilleures bases)

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